Un alphabet auquel vous pouvez TOUS et TOUTES participer, envoyer à contact@uppm66.org un courriel avec :
Assemblage de mots mesurés, selon certaines règles…
Les vers, semblables aux Hommes, sont-ils destinés à vivre en couples, et cela expliquerait que le mot, fût-il singulier, porte le s final d’un pluriel permanent…Serait-ce pour ne pas le confondre à ce ver solitaire qui ronge nos entrailles pendant que l’autre fouette notre intelligence ?
Voici une poignée de vers encore verts, qui se sont égarés pour faire route en solitaire :
« L’âge d’or était l’âge où l’or ne régnait pas » (Lezay de Marzénia) »
« L’esprit qu’on veut avoir, gâte celui qu’on a (J.B.L.Gresset) »
« Tout bonheur, que la main n’atteint pas, n’est qu’un rêve (Joséphin Soulary) »
« Les fous sont aux échecs les plus proches des rois ! (Mathurin Régnier) »
Un dernier vers pour la route, que nous dirons peut-être, lorsque, bien plus âgés, nous évoquerons les années de la pandémie à la manière de Sophie Arnoux: « Oh ! c’était le bon temps, j’étais bien malheureuse ! »
Jacky